Grand prix de l’imaginaire 2000, ce roman est une excellente
surprise de la part d’un auteur m’étant totalement inconnu. Après un
pré-prologue en 30 après J.C., un prologue en 1927, on attaque sur un récit en
2032. L’humanité, après la Grande Peste, s’est réfugiée dans des cocons
monoplaces. Meurtres, conspiration à grande échelle, théorie de l’évolution,
dérive de la technologie, écrits pouvant révolutionner la chrétienté…, ça
décoiffe !
Sur la quatrième de couverture il est indiqué « Le
successeur de pierre est un roman passionnant où le suspense le dispute à
l’érudition ». Je ne peux que confirmer cette assertion en notant quand
même un avantage à l’érudition. Je n’ai pu m’empêcher une certaine fierté
chaque fois que j’ai reconnu une référence ou chaque fois que j’ai réussi à
corréler des éléments du livre. En tant qu’informaticien, j’ai particulièrement
apprécié Ada.
En un mot : superbe !
La citation du jour : « En chacun de nous,
professait-il, il y a au moins cinq pour cent de bon ».
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