14 octobre 2012

Week-end chargé


Samedi : dédicace à Paris Laurence Suhner (de la guilde des auteurs helvètes de SF) pour le premier tome de la trilogie Quantika « Vestiges ».
Dimanche matin : salon du livre du Mans où j’ai rencontré Pierre Bordage (il est partout !), Lionel Davoust (qui à l’inverse du diesel n’a pas besoin de pré-chauffage pour démarrer au quart de tour), Michel Robert (toujours aussi flippant à me reconnaître). Vu de loin la star du salon : Richard Borhinger (moins grand à la ville qu’à la scène). Vu de loin aussi et surtout par manque de temps Carina Rozenfeld, Laurent Genefort.
Dimanche après-midi : dédicace à Paris de Michael Moorcock (MICHAEL MOORCOCK !!!!).
Le tout évidemment sous un soleil éclatant… (Dieu existe mais il est contre moi)

10 octobre 2012

SMEYA – Teaser VI


Dans la gestion des livres, il est maintenant possible de mettre plusieurs auteurs (ce qui peut être pratique pour les anthologies).

La gestion des bandes dessinées est opérationnelle :

On retrouve la gestion des scénaristes :

Avec les statistiques qui vont avec :

On retrouve aussi la gestion des dessinateurs :

Grande nouveauté, la possibilité d’exporter ou d’importer une collection (l’export se fait sur la carte SD) : 

L’export présente un « navigateur » où l’on peut choisir où mettre le fichier d’export :

Coté import, il faut sélectionner le fichier (toujours sur la carte SD), ci-dessous, le fichier sélectionné est « livres.xml » :
 
Again : stay tuned !

9 octobre 2012

London bone – Michael Moorcock

Recueil de quatre nouvelles aux éditions ActuSF, ma préférée est « Un samedi soir tranquille à l’Amicale des Pêcheurs & Chasseurs Surréalistes » qui m’a rappelé les blagues « Dieu rentre dans un bar… ».
Un « petit » Moorcock bien loin des sagas du guerrier éternel (Elric, Hawkmoon, Erekosë, …)

7 octobre 2012

It’s a mad mad world


Il y a quelques jours, j’ai constaté avec effroi que ma carte bancaire avait expiré à la fin du mois dernier. Je vous passe les conversations surréalistes avec ma banque pour régler le problème (et c’est pas fini). En fait, j’ai été atterré par la suspicion engendrée par l’unique moyen de paiement restant : mon chéquier. A la gare, pour acheter des billets de train il m’a fallu présenter non pas une, mais deux pièces d’identité (j’ai eu peur d’avoir droit à la fouille rectale). Dans un autre magasin, franco : « On ne prend pas les chèques », dans un autre j’ai eu droit à un interrogatoire : « Vous habitez où ? Vous êtes déjà venu ici ? Pourquoi vous ne payez pas par carte ? », suivi par la sentence « J’espère que je n’aurais pas de problèmes pour encaisser le chèque » et tout ça, devant les autres clients.
Je partage l’humiliation quotidienne des personnes de couleur qui font régulièrement l’objet de contrôles d’identité. Avec quelques kilos de muscles en plus j’en viendrais à suivre les conseils de Marilyn Manson : « Use your fist and not your mouth »

6 octobre 2012

L’homme au balcon – Maj Sjöwall / Per Wahlöö

Troisième volume de la décalogie Martin Beck, il est à noter que les crimes sont de plus en plus horrible. Dans ce volume, il s’agit de fillettes, créant à Stockholm un vent de panique : création de milices, mobilisation de tous les services de police…
Au fait de second plan, on voit arriver les technologies « moderne », ainsi, les services de police comment à être équipée d’ordinateurs (la révolution technologique commence). Mais ce qui prime dans ces roman, c’est l’humain (même si pour Mellander, on se pose des questions).
Comme je le disais dans les posts précédents, les policiers ne sont toujours pas des super-flics mais juste des personnes acharnées et dévouées. La facteur hasard à aussi son importance. Ce qui me fascine dans ces romans, c’est une autre perspective sur les années de mon enfance.

4 octobre 2012

Les créateurs – Thomas Geha

Prologue : parce que je soutiens la production costarmoricaine, parce qu’exilé en IdF je développe mon chauvinisme mais surtout parce c’est de la bonne.
D’abord le principe : excellente idée de réunir des nouvelles de l’auteur précédemment publiées à droite et à gauche ainsi qu’à groite et à dauche sans oublier la droiche et la gaute (le compte y est !).
Ensuite le contenu : woah ! Surprenant tant les thèmes et la manière sont différents d’une nouvelle à l’autre. Comme je suis un peu court on va passer tout de suite à…
La conclusion : Thomas Geha m’énerve. C’est vrai quoi ! Un, c’est un gamin ! Deux, vu de l’extérieur on a l’impression qu’il fait ça en dilettante et que c’est facile comme tout.
Il partage Mélanie Fazi mon envie (réfrénée) de leur botter le fondement : alors moi, je fais de la traduction, moi j’ai une petite boîte d’édition… Ho ! c’est sympa tout ça mais vous écrivez quand ? Faudrait peut-être vous y mettre et augmenter la production, hein ? Rogntudjuu !

2 octobre 2012

Les grandes profondeurs – René Reouven

Sous la forme d’un journal d’études, l’histoire raconte les déboires d’un scientifique du 19ième siècle avec son invention. Créée au départ avec la volonté de faire apparaître des ectoplasmes sans médium, elle s’avère montrer les pulsions les plus basses des sujets d’expérience.
La narration correspond à l’époque et nous avons le plaisir de croiser les scientifiques, les écrivains et les poètes de cette époque.
En un mot : superbe !
Mon conseil : ne lisez pas la quatrième de couverture ! (elle gâche le plaisir de la découverte)

1 octobre 2012

23 heures – David Wellington

Amateurs(trices) de Twilight ou de vampires romantiques/mystérieux/torturés, passez votre chemin ! Ici les vampires sont de véritables saloperies : amateurs de boucheries très sanguinolentes, sadiques extrêmes et très, très difficiles à tuer.
C’est quand même avec plaisir que l’on retrouve, pour ce quatrième volume de « vampire story », Laura Caxton cette fois-ci emprisonnée dans une prison haute sécurité qui va devenir le théâtre de son « duel » avec le(la ?) vampire la plus vieille des Etats-Unis. Pauvre Laura, rien ne lui est épargné : Quartier de haute sécurité, sa copine qui veut la plaquer…
Gore, anxiogène, stressant… Il faut avoir un cœur bien accroché pour cette lecture.