Peut-on s’échapper de l’enfer ? C’est la question à
laquelle Hal Duncan répond. Quatre « morts » réunis par le hasard s’unissent
à cette fin. Au risque de dévoiler la conclusion, j’ai bien aimé la succession
hyper rapide des points de vues, la petite référence à Dante (« abandonnez
tout espoir »), la description bien glauque de l’enfer, le patron de l’enfer
(qui n’est pas celui qu’on croit).
Je suis persuadé que M. Duncan est une personne très
sympathique dans la vie, mais comme cet œuvre est considérée comme la plus « légère »
de l’auteur, je me demande à quoi ressemblent ses cauchemars.
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