15h00, Station RER de Saint Maur-Créteil, Parvis de la gare.
Rencontré : R. J. Ellory (ne pas confondre avec James
Ellroy) auteur anglais de thriller, sa vie n’est pas loin d’Oliver Twist :
orphelin à 7 ans… Sa carrière d’écrivain n’a pas été rose non plus : 15
ans de galère, 600 lettres de refus par 120 éditeurs… Mon premier réflexe a été
de lui demander s’il considérait son succès actuel comme une revanche, il m’a
répondu qu’au contraire, le sentiment qu’il en retient, c’est la gratitude.
Rencontré : Fabrice Colin qui va mieux (cf.
« Comme des fantômes – Histoires sauvées du feu ») et qui est content
de son entrée dans le main stream
avec « Blue Jay Way ».
Rencontré : Michel Robert (juste un petit bonjour
histoire de lui mettre la pression : en effet ça fait longtemps qu’on a
pas eu de nouvelles de Cellendhyll de Cortavar. Bonne nouvelle : c’est
prévu pour bientôt). Il était en pleine discussion avec son éditrice pour
décider de la suite, Cellendhyll ou Balafrée. Grosse impression :
« Bonjour, monsieur Robert !
- On s’est pas déjà vu ?
- D’habitude on se voit au salon du Mans
- Oui… Jack c’est ça ?
- Ouah ! Je suis impressionné ! C’est limite
flippant ! »
Bref, on s’est donné rendez-vous au Mans.
Rencontré : Henri Lœvenbruck, qui est en plein dans la
série « Sérum » co-écrite avec Fabrice Mazza, 3 saisons de 6 épisodes
(soit 18 bouquins à un rythme d’enfer) avec des QR codes pour accéder à la
musique. Pour lui aussi les journées sont longues.
Sinon, inutile de vous parler de la file d’attente pour
Guillaume Musso : population masculine : 0. Je pense que ce salon
mériterait de s’étendre en surface. Mon agoraphobie a été mise à rude épreuve.
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