Robert Charles Wilson est un des rares auteurs de SF de la
« nouvelle génération » (c’est à dire nés après 1950, ne pas
confondre avec la « nouvelle nouvelle génération » qui eux sont nés
après 1970) a réussir l’exploit de m’empêcher de dormir (et croyez-moi, c’est
un exploit). Une fois de plus, avec Axis, il a sérieusement ruiné mon cycle de
sommeil. 3 décades après la fin du spin, nous suivons d’autres personnages (à
part Diane Lawton) dans une quête sur Equatoria (la planète de l’autre coté de
l’arche terrestre) qui nous dévoile une partie du mystère des hypothétiques.
Bon, maintenant j’attend avec impatience la sortie en poche du dernier volume
de la trilogie.
Message personnel à l’auteur : « Please, Mr
Wilson, don’t stop messing with my sleep ».
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