Ceux qui suivent ce blog savent que je suis un (grand) fan
de Neil Gaiman, et ce depuis « Sandman » jusqu'à
« Neverwhere » en passant par « Black Orchid », « De
bons présages », « Stardust » (le bouquin et le
film) et « Des choses fragiles », etc. Dans une ambiance
TimBurtonesque, « Coraline » est une fable gothique à destination de
la jeunesse (pas trop jeune quand même).
Une fois de plus, j’ai. J’ai été particulièrement
impressionné par la capacité de l’auteur à adapter son écriture à une réflexion
enfantine « ..un caillou qui ressemblait à s’y méprendre à un grenouille
et un crapaud qui ressemblait à s’y méprendre à un caillou ».
Mention spéciale à la citation d’introduction « Si les
contes de fées sont plus vrais que vrais, ce n’est pas parce qu’ils disent que
les dragons existent, mais parce qu’ils disent que les dragons peuvent être
vaincus. – G. K. Chesterton ».
Ça m’a rappelé qu’il fallait que je revoie le film
d’animation…
P.S. : dans le même genre (jeunesse & gothique) je
vous conseille chaudement « L’étrange vie de Nobody Owens » du même
auteur. Un bébé dont les parents sont assassinés est recueilli et élevé par les
fantômes d’un cimetière (tout un programme…).
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire