Dans un monde où les humains sont la
dernière race, un peuple destructeur fait sa ré-apparition. Charge
aux héros, équipe d'éléments très dissemblable (une stratège de
génie, un mercenaire schizophrène et un musicien-poète), de sortir
l'humanité toute entière de la panade où elle s'est fourrée.
C'est un sale boulot mais il faut bien que quelqu'un le fasse.
J'apprécie les romans de David Gemmel
non pas pour leur dimension philosophique et les maints
questionnements à propos de la vie, l'univers et le reste (42 !),
mais au contraire parce qu'en les lisant, on oublie tout le reste :
les corvées, les impôts, les factures. Tout cela disparaît au
profit d'une histoire certes manichéenne mais très bien narrée
(avec son lot d'atrocité). Jouissif.
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