Suite des aventures de Pépé dans le monde post-apocalyptique
avec cette fois-ci des enjeux beaucoup plus importants que dans le premier
épisode. Ce qui se ressent à la fois dans la longueur du roman et dans la
narration plus souvent sérieuse.
Fidèle au premier opus et au caractère des alones, on
retrouve le coté road movie (en partie costarmoricain. Chauvinism alert !)
ainsi qu’un Pépé toujours aussi gouailleur. On retrouve aussi de vieilles
connaissances mais je n’en dirais pas plus pour ne pas gâcher la surprise…
Mention spéciale au surprenant dernier paragraphe très
western ou film de samouraïs (il ne manque que le soleil couchant).
La citation du jour : « Enfin, bon, n’empêche que
pour moi, la poésie c’est comme de regarder un vache qui broute son herbe, je m’en
tamponne le coquillard. Et encore je déconne sévère là, car la vache, elle, a
un intérêt alimentaire. »
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