Premier (et seul… sur deux) roman de Nick DiChario publié en
France, c’est une excellente surprise. Remarque, c’était prévisible sachant
qu’il était finaliste du World Fantasy Award et du prix Hugo.
Dans une Amérique au bord de la guerre de sécession (et
derrière un titre de trois kilomètres de long), nous suivons les
(més-)aventures de Tink Puddah, orphelin d’un couple d’extra-terrestres.
Alternant deux récits en parallèle, le premier après sa mort
et le second à partir de son arrivée sur terre, c’est une excellente métaphore
du racisme ambiant, qu’il soit sur la couleur de la peau ou sur la religion.
Mention aussi à la couverture que je trouve parfaite.
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