Ambiance steampunk sur fond de révolution/révolution
industrielle. Une substance mortelle recouvre une partie de l’Europe :
l’écryme (hommage à Alfred Hitchcock et jeu de mot à la con : l’écryme
était presque parfait… désolé !).
La première partie du diptyque montre la relation en cette
« écryme » et deux personnages : Une révolutionnaire (Louise) et
un hussard (Léon), la seconde partie quant à elle tend à expliquer la nature de
l’écryme.
Je dois avouer que j’ai préféré la première partie à la
seconde. En effet cette dernière est composée de fragments du combat entre les
révolutionnaires et le système établi et les personnages suivis dans la
première partie sont sous-exploités (Léon Radurin par exemple est inexistant
dans cette partie). Tandis que la première est de l’aventure beaucoup plus
divertissante.
Malgré tout, c’est une lecture agréable dans un cadre pour
moi très inhabituel.
La citation du jour : « la discipline s’arrête là
où commence le bon sens »
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