Ou l’épopée de Véhir, mi-homme mi-porc, à la recherche des
dieux humains dans un monde dominé par les prédateurs qu’ils soient hurles,
ronges ou miaules. Science-fiction ? Fantasy ? Le classement de cette
œuvre n’est pas évident.
Encore une fois Bordage nous emporte dans une quête menée
par les personnages les moins susceptible d’achever cette même quête. Comme
Coluche disait « …mais pour eux ça va être dur ! » et c’est le
cas.
Une pincée de « La ferme des animaux », des fables
de La Fontaine, de « L’île du dr. Moreau » pour le thème animalier,
ce livre m’a rappelé aussi, bien qu’il aie été écrit avant, la trilogie
« Enjomineur » pour l’argot.
Au delà de l’épopée et de la décadence de la civilisation,
c’est une critique de l’homme : « science n’est pas
conscience ».
Je pense que sur mon exemplaire (J’ai lu 2009), il y a eu un
problème sur la quatrième de couverture : « …le langage abâtardi
d’une civilisation à l’agon »… tant pis pour « ie »
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire