Chroniquer un livre SF de Bordage est une gageure, et
celui-là encore plus ! Ce roman fleuve (670 pages écrit tout petit)
conclue la trilogie des guerriers du silence. Comme toujours avec Bordage la
fin est positive (voire un peu cul-cul) mais le chemin est laborieux.
La profusion des personnages impose au lecteur une grande
implication (c’est qui lui déjà ? ah oui ! mais qu’est-ce qu’il
faisait la dernière fois ? et puis… il avait pas un autre nom ?).
Je suis content d’avoir fini cette trilogie mais pour me
reposer la mémoire, j’ai besoin de revenir pour un temps à des récits plus
linéaires et moins touffus.
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