Troisième volume de la décalogie Martin Beck, il est à noter
que les crimes sont de plus en plus horrible. Dans ce volume, il s’agit de
fillettes, créant à Stockholm un vent de panique : création de milices,
mobilisation de tous les services de police…
Au fait de second plan, on voit arriver les technologies
« moderne », ainsi, les services de police comment à être équipée
d’ordinateurs (la révolution technologique commence). Mais ce qui prime dans
ces roman, c’est l’humain (même si pour Mellander, on se pose des questions).
Comme je le disais dans les posts précédents, les policiers
ne sont toujours pas des super-flics mais juste des personnes acharnées et
dévouées. La facteur hasard à aussi son importance. Ce qui me fascine dans ces
romans, c’est une autre perspective sur les années de mon enfance.
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