Écrit en 1950, il est inutile de vous dire que ce roman a
quand même pris pas mal de cheveux blancs et l’histoire est cousue de fil blanc
(blanc est la couleur du jour).
Une idée que j’ai trouvé intéressante c’est les mutations
que subiraient les humains s’ils colonisaient d’autres planètes. Le point de
vue de Vance est radical en ajoutant la scission complète avec la planète mère.
A réserver aux nostalgique de la « golden age » ou
aux plus jeunes.
D'accord avec toi, il y a de bonnes choses, mais globalement ça a quand même pris un petit coup de vieux...
RépondreSupprimerMoi j'ai bien aimé, car je ne me rappelais pas le seul livre que j'avais lu de lui (à savoir Cugel l'astucieux). ça m'a donné un goût de trop peu par contre !
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