Note : ce billet grille ceux que j’avais prévu !
Maintenant qu’on commence à se connaître, vous savez que je
ne suis pas trop littérature « blanche ». A l’occasion des
dystopiales (V), l’auteur venait dédicacer sa dernière œuvre. Intrigué par sa
dédicace (je cite : « À Jack, cet AMERICAN GOTHIC qui est simplement
le livre dont tu es le héros »), je n’ai pu m’empêcher, dès le dimanche
qui à suivi les sus-mentionnées dystopiales, d’attaquer cette œuvre. Des
« Jack », le roman en est bourré ! Entre parenthèses, ce roman
fait suite à 10 ans de préparation… Ça force le respect.
Franchement, je ne saurais qualifier cette œuvre :
fiction ? pseudo biographie comparée ? chronique d’une époque ?
Je manque de culture pour séparer les faits réels (et il y en a !) de la
partie fictionnelle.
Toujours est-il qu’une fois dedans, on se laisse prendre au
jeu et c’est un supplice de poser le bouquin pour d’autres activités pourtant
nécessaires (voire vitales). Une réussite sur toute la ligne qui me
réconcilierait presque avec la littérature générale… Une gageure car j’ai été
traumatisé par les livres qu’on nous forçait à lire au collège ou lycée.
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